Byzance, Constantinople, Istanbul … ces trois noms ont désigné au fil du temps une seule et même ville.

Istanbul, cité millénaire, est la seule ville au monde qui voit son territoire reposer sur deux continents. C’est le Bogazici, le détroit du Bosphore, qui sépare les deux rives européenne et asiatique d’Istanbul, lui conférant son caractère unique et inoubliable.

Parce que nous sommes amoureux d'Istanbul, nous avons souhaité la partager avec vous.

Entre passé, traditions et modernité, voici nos coups de coeur, nos bons plans, nos émotions, ...

mardi 1 janvier 2013

Iyi seneler !!!!

Week-end de réveillon très chargé !! Tout a commencé hier matin par un brunch prolongé avec toute la famille à Divan, quartier de Bebek, tout au bord du Bosphore. Magique et festif à la fois.
Ensuite, visite des amis et shopping de réveillon. Et pour finir la journée, petite promenade avenue Istiklâl pour profiter des lumières et de la féérie de l'ambiance.
Et hier, on est rentré progressivement dans les préparatifs du réveillon. Une fois celui-ci terminé, place à la célèbre tombola familiale, et coucher à l'aube.
Iyi seneler !!!!!! Bonne année !!!!!!


jeudi 27 décembre 2012

Tahinli çörek

Impossible de parler du poğaça sans évoquer le tahinli çörek, une succulente pâtisserie à base de tahin (crème de sésame). Idéal pour le petit déjeuner.


Ci-dessous, tahinli çörek de chez Yeni Damla.


Constantinople et Bosphore



Dürümcü Celal

Sur le coup des 15h, alors que le petit déjeuner était déjà loin, on s'est arrêté chez Dürümcü Celal, dans le quartier de Harbiye, pour une pause déjeuner.
C'est une petite "cantine" tout ce qu'il y a de plus simple, sans aucune prétention. Au programme, assiette de et şiş (viande en brochette accompagnée de bulgur, oignons doux pimentés, piment et tomates grillés), urfa dürüm et ayran. Quant aux petits piments verts sur la table, un seul suffit; ça arrache un peu ...


 


mercredi 26 décembre 2012

Reza Deghati İstanbul'da

Reza Deghati (National Geographic) à İstanbul, pub Samsung smart camera.

Istanbul trafiği

On a déjà eu l'occasion de le dire, le trafic à Istanbul peut rapidement se révéler délicat, de sorte que conduire peut devenir une épreuve pour vos nerfs (de français).
A Istanbul, qui compte pas moins de 17 millions d'habitants, il y a partout des scooters de livraison, des voitures, des 4x4, quelques motos, aucun vélo (trop dangereux !!), des dolmuş (sorte de mini-bus), des bus et des camions. Et c'est "chacun pour soi, et Dieu pour tous". Car oui, il faut bien l'avouer, les règles de conduite s'appliquent plutôt aux autres ... Ce qui explique souvent l'état du traffic.

C'est donc dans ce contexte de jungle urbaine où le klaxon est roi, le kit mains libres une option inutile, et où, la plupart du temps, aucune limitation de vitesse n'est observée qu'aujourd'hui, j'ai failli tout d'abord écraser un piéton surgi de nulle part, et ensuite percuter un scooter de livraison qui me doublait ... par la droite.
Mais bon, j'y suis habitué, depuis le longtemps, mais ça me met quand même toujours un peu les nerfs. Le plus dur, c'est de retour en France, où là, il faut reprendre les bonnes vieilles habitudes.

Pour se faire une idée en direct de l'état du trafic à Istanbul, le site de la mairie (sur la barre de gauche, cliquer sur Kameralar, puis cliquer sur Menü en haut à gauche et sélectionner Trafik kameralari; grossir l'image et cliquer sur les caméras).